Pour le bicentenaire de la naissance de Baudelaire, Marilyne Bertoncini m’a demandé de proposer une illustration pour la revue littéraire Jeudi des mots.
Adolescente, je faisais la guerre à mon professeur de français qui décortiquait Baudelaire en classe.
Un poème, c’est comme un nuage, ça ne se dissèque pas. C’est vivant.
