Vivre l’instinct présent
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La plume d’Anne Vassivière est toujours aussi « vivace et acérée »
Le livre d’Anne Vassivière tombe à brûle-pourpoint pour mettre un peu de merveilleux dans nos vies complexifiées par la crise, la dangerosité. Ce livre est excellent, léger et grave à la fois, souvent rabelaisien, cash et cru. …
lire la suiteFusion et profusion, exposition
Je recherche dans la peinture l’éclat du premier rire d’enfant, le suc des fleurs et l’élan des légendes. J’en éclabousse les regards pour qu’ils ne se fanent jamais. Amoureuse de tout ce qui porte aile, c’est avec du ciel plein les bras que je peins des chapelles d’herbes, d’air et…
lire la suiteIl est un lieu immense et minuscule de toute frontière
Samedi 18 mars, Invités par Catherine Belkhodja, actrice-artiste et auteure, à célébrer le Printemps des Poètes à la Galerie Schwab, Patrick Bouchitey, camarades poétesses, haïkistes et moi-même disons « La frontière ». Chaleureusement accueillis par Thierry et Edouard Schwab,
lire la suite122 rue du chemin vert au Bonheur est dans l’instant
Pour celles et ceux qui n’ont pas pu venir au Café de Flore ! Avec Marc Guillot et Fred Harranger à la galerie Le bonheur est dans l’insta(nt)
lire la suiteL’homme qui plantait des amitiés sincères
Les tours d’immeubles menacent au loin dans la vallée de bêton mais L’Enfant ne le sait pas encore, pour le moment il est à l’abri de l’innocence offerte à la naissance, quelques qu’en soient les circonstances.
lire la suiteNous sommes le temple
Enfant, ado, puis adulte, j’ai aimé des Bruno et des Philippe. Ces prénoms disent mon âge, et qu’aucun amour ne capitule à la mort. Qu’il s’agit d’un instinct premier. Primaire. Notre seule victoire sur la Camarde et le temps. Et qui fait de nous un temple de chair.
lire la suiteDédicace au Flore de 122, rue du chemin-vert
SIGNATURE Lundi 13 février à 20h30 au Café de Flore Lectures par les comédiennes Stéphanie Cals & Rachel Rita Cohen
lire la suiteAux grands brûlés de la vie
Stéphane a 42 ans, il aime ses chiens, l’espace et le chocolat. Il a deux Rottweiler. Le plus sombre est vieux, il ne se lève pas toujours pour venir me saluer. Quand j’arrive le matin, je sens bien qu’il mesure son envie d’être caressé à l’aune de sa fatigue.
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