Archives de la catégorie : Un dimanche, une œuvre

Dans un monde désespérant, l’espoir est oiseau. À nourrir, à soigner. « Six oiseaux par être humain sur cette terre », ai-je lu quelque part. ..Plus

Pluie battante et ciel qui traine aujourd’hui dans la grisaille urbaine, alors envie de couleurs comme regretter les étés de pleine enfance. Une chienne, une grand-mère, une tortue et un père aviateur, la vie était douce près des lacs de montagne.Plus

J’ai répondu au chagrin de la grande histoire qui se terminait en lui peignant une jumelle de renaissance. De ma taille. Petite pour une humaine, grande pour une toile. Le linceul qui avait poussé sur ma peau, je l’ai rempli d’éclats jusqu’à déborder. Et j’ai tourné la page du grand amour terminé.Plus

J’étais rousse, c’était l’automne comme aujourd’hui, une grande histoire se terminait et je sentais un linceul de feuilles mortes me pousser sur la peau. J’ai trouvé une toile qui faisait ma taille, j’y ai peint cet autoportrait.Plus

Chaque jour je m’assois sur la première marche de mon escalier pour me chausser, et je pense à ce portrait de 1802. Plus

Quand on me regarde, on voit une femme…pourtant je suis aussi une éponge. Une éponge vibratoire…Plus

Je tiens tout ce qui vole pour supérieur, certains d’entre vous le savent. Oiseaux, aviatrices, poètes…et tous les amoureux, toutes les amoureuses ailées un peu, beaucoup, à la folie…Plus

Arbre qui danse, je suis en ton royaume. Les dernières nuits ont enfanté un vent de doutes en bourrasques qui croyait t’éprouver. Plus

Toutes des Ophélie, moi comme les autres.Plus

Simplement portées par le vivant, par une certaine douceur, une éclatante évidence. Plus